Bruno, Moniteur D’Auto-École (Épisode 7 : Une Fellation Pour Deux Hommes)


Ce samedi après-midi, Virginie invita Bob à la suivre dans les toilettes de sa maison pour coquiner comme elle savait si bien le faire. C’était une activité auquel le couple se livra depuis plusieurs mois déjà, si bien qu’on ne sait plus si c’est Bob ou Virginie elle-même qui en prit l’initiative la première fois. Au début, il y avait la lumière, puis Bob trouva un jour que c’était bien de le faire dans le noir aussi. La belle approuva, et plusieurs fois de suite, il en fut ainsi dans leur vie.

Pourtant, ce jour-là, quelque chose était différent. Bob ne le voyait pas ; du moins pas encore. A l’invitation de sa chérie, il ne tarda pas à la rejoindre. En fait, les amoureux sont entrés en même temps dans la pièce exiguë et sombre. La belle s’assit, face à lui et dévoila ses charmes en baisant l’une et l’autre des bretelles de sa robe. Pour Bob, c’était l’apothéose. Sa belle était plus belle en vrai que dans ses rêves. Virginie lui fit signe d’approcher du doigt avant qu’il n’éteigne la lumière. Il s’approcha et déboutonna son jeans. Il éteignit la lumière. L’obscurité profonde fit le reste.

Dans l’instant, Virginie n’avoua rien cependant à Bob de ce qu’elle fit le matin même avec Bruno dans la voiture de l’auto-école. La fellation qu’elle eut offert à Bruno, c’était son secret. Dans l’habitacle de la voiture, elle avait fait jouir son hôte, abondamment. Bruno s’était répandu sur le visage de ma belle, le menton et les lèvres en particulier ; la robe surtout. La belle avait un seul regret : que Bruno n’ait pas jouit au fond de sa gorge ; car de toutes les caresses, inconsciemment, c’était celle-ci qu’elle attendait le plus.

Dans les toilettes, Virginie prodigua à son homme une douceur que celui-ci la garda en mémoire toute sa vie durant. Bob en retint une immense jouissance, mais la belle œuvra aussi pour son plaisir. Virginie cultivait le mystère en embrassant le chibre de son homme dans le silence.

Elle était là avec lui mais pensait à un autre homme, Bruno, qu’elle avait espéré recevoir le matin même au fond de sa gorge. Bruno avait failli, et dans les toilettes avec Bob, Virginie comptait bien se rattr. En pensant à Bruno, son Nono disait-elle, la belle se rassasia alors du sperme de son époux, avalant jusqu’à la dernière goutte. Bob était aux anges et n’en revenait pas. Jamais sa chérie auparavant ne lui avait fait cela. Dans l’action, il ne se doutait pas le moindre du monde que sa belle pensait à un autre. Cela, il ne l’apprit que bien plus tard.


Virginie aimait beaucoup avaler, pour la joie de Bob, et pour la joie des hommes en général. Sa première fois, elle le vécut avec son homme, sur les rivages d’un amour fou, aujourd’hui perdu dans le temps. La belle pourtant se souvient encore de ce gout, de ce parfum, mélange subtile de fruits secs, noix et de noisettes. Bob ? c’était le plus heureux des hommes, amoureux transi s’il en fut. Sa belle suçait divinement bien. Certes, il l’aimait pour ça. Mais, il l’aimait aussi pour son regard, son parfum de femme, son sourire, sa joie de vivre, sa béatitude. Virginie, en effet, avait un charme fou et avait le don de vous faire chavirer le cœur juste par un regard, un sourire. Virginie, c’était sa princesse à Bob, sa déesse, l’élue de son cœur, celle pour qui il était prêt à braver le Monde ; car, à dire vrai, il n’y a pas de mots plus forts pour dire combien Virginie était belle et douce et sensuelle et combien il était fou amoureux d’elle. Virginie était un havre de paix, un élixir de jouvence. Elle était sa reine, sa princesse des Mille et une Nuits. Elle était Jasmine, dans Aladdin et se prénommait Belle dans la Belle et la Bête.

Mais, ce soir, Virginie pensait à un autre, qui plus est, avait profité de ses faveurs le matin même. Elle pensait à un homme différent, très avenant, très entreprenant. Un homme beau, un homme fort avec un corps d’athlète. Un homme aux allures d’Apollon et dans la force de l’âge : Bruno.


Bruno avait, en effet, dix, ou vingt ans de plus que Virginie. Il habitait une petite ville de province à quelques kilomètres du domicile de la belle, baignée par une rivière au charme pittoresque. Virginie s’était rendu une fois chez lui, peut-être plus par curiosité que par sa seule envie. Discrètement, il avait laissé son numéro de téléphone à la belle et comptait bien lui faire passer ses fantasmes les plus inavouables. La belle était séduite par l’homme, par son tempérament de cheval fougueux, et parfois incontrôlable. Bruno en effet aimait dominer, prendre et surprendre, envers et contre tous. Pendant longtemps, Virginie ne voulait pas l’admettre mais Bruno était l’homme qu’elle recherchait, un homme protecteur, un confident, une force de la nature où elle se sentait toute petite et fragile à côté. Cet homme, c’était lui. Bruno, cependant, le ne savait pas encore et le découvrait progressivement au fur et à mesure de sa relation avec ma belle. De fil en aiguille, il apprit à la connaître, jusqu’à lui faire l’amour une bonne fois pour toute.

A suivre…

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